Avec pratiquement 15 millions d’habitants, Kinshasa est, comme la plupart des mégapoles de la planète, confrontée à de multiples défis.
Seules des mesures concrètes permettent de gérer la concentration toujours plus importante d’habitants et l’accentuation des effets du changement climatique. En s’attelant à ces défis, Kinshasa est à l’avant-garde du mouvement en faveur de villes plus durables.
Pour aller dans ce sens, j’entends, avec nos partenaires techniques et financiers, améliorer l’accès aux infrastructures, aux services et aux débouchés socio-économiques. Cela veut dire utiliser l’énergie solaire en matière d’éclairage urbain, des matériaux durables pour les routes et les trottoirs, végétaliser la ville avec des plantes autochtones xérophiles. J’entends aussi que les moyens technologiques pour l’approvisionnement en eau, la gestion des déchets solides et l’assainissement soient mobilisés.
Cette démarche, globale, permet d’accompagner l’essor rapide de Kinshasa qui servira de modèle à ses villes sœurs africaines afin d’accroître leur résilience face aux inondations et autres catastrophes naturelles, tout en améliorant l’aménagement du territoire, les infrastructures urbaines et les services et en réhabilitant les quartiers informels.
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