#CeintureVerte – Ouagadougou

Retour sur une très belle initiative de la capitale du Burkina Faso, qui lie démarche environnementale, alimentation urbaine, inclusion sociale, et multi-partenariats avec le secteur privé. A découvrir ici ! ?

#Assainissement – Yaoundé

Retour en images : Yaoundé et sa solution d’assainissement de la ville, avec la création d’une filière de gestion des boues de vidange #GBV dans le cadre de l’#ISSV.

Une démarche accompagnée par l’AIMF, la Gates Foundation, et soutenue par ses partenaires internationaux (AFD – Agence Française de Développement, SIAAP, Agence de l’eau Seine-Normandie.

A découvrir ici ! ?

#AIMFAbidjan2022 #COPdesVilles #climat #villedurable

#Raisonnance – Ville Circulaire

#ESS #EconomieCirculaire : Les villes ont des solutions, donnons-leur les moyens de les amplifier !

Notre revue Raisonnance (n°18) est dédiée aux villes circulaires, pleinement engagées, dont l’impact s’étend bien au-delà de l’échelon local.

Un tour d’horizon des actions mises en œuvre par les villes : Liège et sa démarche alimentaire, la gestion des déchets à Dschang, ou encore la création d’un village du recyclage par Bordeaux !

Pour lire notre revue : https://bit.ly/39P1yep

#VillesEtForêts – Cameroun

Au Cameroun, la gouvernance des forêts est décentralisée depuis 1994.

A la clé : une préservation de la forêt qui implique la population locale et une exploitation raisonnée qui a des retombées directes sur le développement des territoires.

Pour en découvrir plus :

Plan Climat du District Autonome d’Abidjan

Retrouvez ici la stratégie d’Abidjan pour son plan climat.

La COP des Villes dans la presse : lire la Tribune des Maires

En amont de la COP des Villes des 1er et 2 juillet, les Maires du monde entier ont lancé un appel à mieux prendre en compte le rôle majeur des autorités locales face au changement climatique, et à mettre en place les conditions d’un dialogue élargi, avec pour priorité les plus vulnérables.

La Tribune des Maires de Paris, Abidjan, Tunis, La Nouvelle-Orléans, Brxuelles, Des Moines, Liège, Berlin, Rome, Tel-Aviv-Yafo, Lausanne, Londres, Nouakchott, Lisbonne, Namur et Varsovie est à lire ici : https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/une-cop-des-villes-pour-lutter-contre-le-changement-climatique-20220623_7L7AV45I5FCXRLZPVSADGSW7MM/

Pour revoir la Conférence de presse du 23 juin

“Moins de bavardages et plus d’actions.“

La première conférence de presse #ABIDJAN2022 avec le Ministre-Gouverneur d’Abidjan et le Secrétaire Permanent de l’AIMF : https://fb.watch/dQf_X5vXGI/

Parole à Moussa Mahfouz Cader Said, Maire de Port-Louis

Le changement climatique affecte le monde entier mais les îles sont plus exposées encore. Ainsi la mairie de Port-Louis, Capitale de l’Île Maurice, travaille sur un programme pour faire face à cette nouvelle donne, mais aussi pour porter une nouvelle vision pour la ville.

Ce programme consiste entre autres à :

• mettre l’emphase sur la construction et la maintenance de drains à travers la ville pour faciliter l’évacuation des eaux pluviales par la mer,
• créer plus de jardins et d’espaces verts pour le bien-être des citoyens et pour permettre à la ville de respirer,
• renforcer les lois existantes contre les constructions illégales sur les berges des rivières naturelles.

Parole à Anne Hidalgo, Maire de Paris et Présidente de l’AIMF

Depuis des décennies, nous, maires francophones, nous mobilisons pour le développement de nos territoires, pour la défense de nos valeurs et pour que la voix des autorités locales soit entendue.

Nous sommes aujourd’hui à la veille d’un moment important, qui comptera pour chacun d’entre nous.

Nous sommes engagés depuis longtemps déjà dans la lutte contre le changement climatique et dans l’adaptation de nos villes pour une vie meilleure. Les travaux qui seront menés autour des rencontres des commissions permanentes et des table-rondes le prouvent indéniablement. En s’attaquant aux problèmes de pollution, d’assainissement, en développant la sensibilisation et l’information des citoyens, et en favorisant, via les projets soutenus, les programmes éco-construits, la transformation durable des villes est toujours au cœur de nos initiatives.

Cet engagement doit être porté au plus haut, dans nos pays respectifs, mais également dans les instances multilatérales et les grands rendez-vous tels que les COP. Ces rencontres annuelles laissent une place bien trop résiduelle aux villes, alors que c’est bien nous qui portons le nouveau green deal.

Nous avons donc décidé d’organiser notre moment, notre COP des villes. Au regard de l’action des villes francophones de l’AIMF, il était évident que cette COP soit alignée sur notre assemblée générale annuelle. Avec nos collègues maires de pays non francophones, avec nos partenaires qui nous accompagnent au quotidien dans la réalisation de nos ambitions, nous démontrerons que nous savons faire et que nous sommes à l’origine des principales initiatives de transformation durable des dernières années.

Lors des rencontres internationales et des COP, de nombreux engagements sont annoncés, mais force est de constater que ces derniers ne sont ni remplis, ni à la hauteur de ce qui est nécessaire, particulièrement pour les villes du sud. C’est pourquoi il était important que nous puissions nous réunir là où l’impact du changement climatique est le plus prégnant. Je suis ravie que le District d’Abidjan nous accueille pour notre Assemblée Générale et pour cette COP des villes et je remercie Robert Beugré Mambé pour son engagement tant dans l’action de l’AIMF qu’en faveur du climat.

Parole à Gentiny Mbaka Ngobila, Gouverneur de Kinshasa, Vice-Président de l’AIMF

Avec pratiquement 15 millions d’habitants, Kinshasa est, comme la plupart des mégapoles de la planète, confrontée à de multiples défis.

Seules des mesures concrètes permettent de gérer la concentration toujours plus importante d’habitants et l’accentuation des effets du changement climatique. En s’attelant à ces défis, Kinshasa est à l’avant-garde du mouvement en faveur de villes plus durables.

 Pour aller dans ce sens, j’entends, avec nos partenaires techniques et financiers, améliorer l’accès aux infrastructures, aux services et aux débouchés socio-économiques. Cela veut dire utiliser l’énergie solaire en matière d’éclairage urbain, des matériaux durables pour les routes et les trottoirs, végétaliser la ville avec des plantes autochtones xérophiles. J’entends aussi que les moyens technologiques pour l’approvisionnement en eau, la gestion des déchets solides et l’assainissement soient mobilisés.

Cette démarche, globale, permet d’accompagner l’essor rapide de Kinshasa qui servira de modèle à ses villes sœurs africaines afin d’accroître leur résilience face aux inondations et autres catastrophes naturelles, tout en améliorant l’aménagement du territoire, les infrastructures urbaines et les services et en réhabilitant les quartiers informels.